LES 20 et 21 DECEMBRE 2003
L'ASSOCIATION CAPI- MILOS
AGEE TOUT JUSTE DE SEPT MOIS
PRESENTAIT SON PREMIER
SPECTACLE
LA GUINGUETTE à MIMILE
PIECE EN TROIS ACTES DE
JEAN LEROY
LA PIECE
La scéne se passe de nos jours, à " MEZIDON sur MARNE " charmante bourgade imaginaire de la région parisienne sur les bords de la riviére , "MIMILE" y exploite "la guinguette" qui porte son nom, héritage de ses parents et grands parents . C'est un très bon cuisinier, quoique un peu farfelu, ce soi disant génie, s'est mis dans la tête de fabriquer une machine qui d'après lui permettra de remonter le temps .Il espére ainsi réincaner ses ancétres. Arivera t'il à mener à bien son rêve. Cela est moins sur, d'autant plus que sa maitresse une ancienne prostituée dunom de" NENETTE " ne lui laisse aucun répit . Quand à sà femme " CAPUCINE"elle se désinteresse complétement de la question, trôp occupée par son amant " NORBERT" . La servante " SIMPLETTE" que l'on prend pour une "demeurée" n'est pas si bète qu'on le croit, quand au fils de" FERNANDE " la voisine de la"GUINGUETTE" il est également attiré par "NENETTE " qui ne repousse pas ses avances, que va devenir l'invetion de" MIMILE", au milieu de tout cet " imbroglio " vous le saurez en venant nous applaudir a la salle des fêtes, ce qui vous permettra de faire un voyage éclair à travers la chanson française de 1963 à 2003.
DISTRIBUTON
MIMILE ; patron de la"guinguette" JEAN LEROY
NENETTE : maitresse de"MIMILE" FRANCOISE GUYOT
CAPUCINE: femme de" MIMILE" CHANTAL HARDY
NORBERT : amant de "CAPUCINE MARCEL RENAUT
PAULETTE :secrétaire de mairie AGNES CADOT
LUCIEN :copain de"PAULETTE GERARD COQUEBLIN
SIMPLETTE: la servante DOMINIQUE CHEVENCE
FERNANDE : la voisine GINETTE DORMIER
MAURICE :un promeneur ANTOINE HARDY
LA MUCISIENNE: MARIE OCHNER
A LA SONO : JAKY HENRION
Inutile de dire que tout le monde était sur des charbons ardents, auteur et comediens avait la peur au ventre ,ce n'est jamais facile de présenter à la fois une nouvelle troupe et une nouvelle piece , qui plus est dans une nouvelle salle et devant un nouveau public, un public que malgré tout je connaissais très bien puisque depuis maintenant quatorzes années consécutives, tous les ans je jouais devant lui dans une autre association, et même certaines fois des piéces écrites par moi, je dois reconnaitre que ce public , me fut fidéle car tout le monde était la pour m'applaudir ainsi que mes compagnons, et à notre grand regret nous avons été obligés de refuser du monde aux deux seances, mais comme rien n'est jamais aquis , nous étions quand même sur le "qui vive", mais tout se passa très bien, et c'est sous des tonnerres d'applaudissements, que nous attaquions notre final . tout le monde était heureux , ça y était nous étions acceptés, il ne nous restais plus qu'a continuer sur notre lancée, et je crois que c'est ce qui s'est pssé depuis mantenant quatre années .
JEAN LEROY
La pièce en video
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